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50. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Molière, notre père, avait soin de nourrir ses enfants. […] — Tromper mon père, je n’oserais, mais tromper Thaïs !  […] Si je bats mon père, ainsi le veut la Rhétorique ! […] Diafoirus père et fils pour M.  […] Il est le père du génie français.

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