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17. (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490

Il faut qu’il soit père. […] À père avare fils prodigue. […] Mais la sécheresse et la cruauté d’un père dénaturé ont compromis ces généreuses inclinations. […] Le père qui l’a promise à un galant homme enrage d’une sottise qui révolte son bon sens et affligé son cœur. […] Le père, le mari, le bourgeois.

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