/ 264
263. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

c’est Damis, enfin : Il pense que louer n’est pas d’un bel esprit, Que c’est être savant que trouver à redire, Qu’il n’appartient qu’aux sots d’admirer et de rire, Et qu’en n’approuvant rien des ouvrages du temps, Il se met au-dessus de tous les autres gens. […] Dans les ouvrages déjà nombreux et souvent fort considérables où ils ont traité de la science du beau, ils ont en général consacré au comique une étude à part, et ils ont rencontré sur cette question des idées ingénieuses et profondes.

/ 264