« Il le faut avouer, l’amour est un grand maître : ce qu’on ne fut jamais, il nous enseigne à l’être ; et souvent dans nos mœurs l’absolu changement devient par ses leçons l’ouvrage d’un moment. […] Mais ce qui est certain, c’est que dans cet ouvrage il a admirablement dépeint cette passion, bien qu’il ne la nomme pas, de même que dans Don Juan et quelques autres de ses œuvres il a donné avec une grande perfection les caractères de la criminalité, sans pourtant prononcer ce mot.