Moliere a fait encore voir dans cette comédie l’art avec lequel il savoit prendre l’esprit de plusieurs ouvrages pour en composer un seul. […] Cependant l’imbécille Laure ne manquoit pas de passer les nuits armée de toutes pieces, & de passer les jours auprès d’un ouvrage qu’elle avoit appris à faire au couvent. […] L’Ecole des Femmes enfin Doit passer pour ouvrage fin. […] Cet arrêt est tiré d’un ouvrage intitulé : La Guerre comique, ou Défense de l’Ecole des Femmes, du sieur de Moliere, & de sa Critique, par le sieur P. de la Croix, in-12.