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17. (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112

Molière n’oublie jamais ces traits-là. […] Don Juan oublierait-il ce genre de séduction ? […] N’oublions pas qu’Aristophane versa la cigüe dans la coupe où Socrate but la mort. […] N’oublions pas M. […] Combien n’a-t-il pas fallu d’esprit à Beaumarchais pour faire oublier des emprunts faits à Molière.

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