/ 188
14. (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461

c’est peut-être celui d’un prologue et d’un épilogue oubliés par lui, et qu’il n’eût pas fait sans ces imprudentes persécutions. […] L’idée, l’arrangement des scènes, le dénouement n’étaient pas oubliés, et que fallait-il davantage pour en faire le sujet d’un impromptu ? […] Il lui emprunta presque tout, mais, cette fois, sans le faire oublier, sans être beaucoup plus fort que lui. […] Ils viennent d’Italie, ne l’oubliez pas : jouez-les donc à l’italienne. […] Elles nous rendent une tradition oubliée du jeu de Molière dans Arnolphe : elles auront fait plus qu’elles ne valent.

/ 188