Ils ont oublié pour lui leurs habitudes d’âpre patriotisme, et quelques-uns même sont allés jusqu’à lui sacrifier, fort injustement d’ailleurs, Shakespeare. […] Si vous l’avez oublié, la lettre qui suit vous le remettra eu mémoire. […] (Vous parlez de tréteaux, mon cher Sarcey, n’oubliez pas que Molière aimait Tabarin et qu’il devait y avoir souvent dans son comique un ressouvenir du Pont-Neuf.) […] Un jeune homme de bonne famille aime les cartes et sa fiancée ; quand il gagne au jeu, il oublie son Angélique ; il y revient quand il a perdu. […] Oubliez un moment le jeu « admirable » de Coquelin et de Jeanne Samary, oubliez quelques scènes de grosse bouffonnerie qui ne tiennent nullement à la trame de la pièce, que reste-t-il, en somme, pour sujet ?