Ces voleurs par leur fuite ont fait assez connoître, Qu’où votre bras se montre on n’ose plus paroître ; Et je ne puis nier qu’à cet heureux secours, Si je respire encor, je ne doive mes jours.
Ces voleurs par leur fuite ont fait assez connoître, Qu’où votre bras se montre on n’ose plus paroître ; Et je ne puis nier qu’à cet heureux secours, Si je respire encor, je ne doive mes jours.