Osa est peiné de voir le Don Juan si grand, si vaste ai si haut, au premier acte, passer, dès le second, sans transition, à ce qu’on appelle la période ancillaire et-séduire des paysannes -en leur promettant le mariage, comme le dernier des courtauds de boutique. […] Molière n’osa pas la jouer sur son théâtre et se contenta de la lire dans les compagnies. […] » Mariane s’écrie : « Qui l’aurait osé dire ?