J’ose donc espérer que les amis de Molière ne me sauront pas mauvais gré de continuer une tâche que j’ai déjà remplie plusieurs fois dans le journal le Temps 4, en les entretenant des découvertes les plus récentes relatives à la vie du grand poète comique, en leur soumettant les observations qu’elles réclament, les contradictions qu’elles peuvent soulever. […] Je l’espère, sans oser l’affirmer encore.