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200. (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126

En considérant toutes ces pièces badines d’un ordre secondaire, où il y a un mélange de plaisanterie et de sensibilité, où l’auteur et les spectateurs s’abandonnent sans réserve à leurs inclinations naturelles, il me semble évident que ce qui fait chez les Français la base de l’esprit comique, c’est la bonhomie franche et joviale, de même que chez les Italiens c’est la bouffonnerie, et chez les Anglais le humour.

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