Si l’on se reporte au temps où Molière écrivait123, on doit l’admirer d’avoir osé dire si nettement son opinion, et d’avoir si bravement appuyé les efforts de Louis XIV pour abolir l’usage quotidien et vraiment barbare du duel à cette époque. […] Ce n’était point l’opinion du sieur de Rochemont (Observations sur une comédie de Molière intitulée le Festin de Pierre, Paris, 1665), ni celle du prince de Conti (Traité de la Comédie et des Spectacles selon la tradition de l’Église, Paris, 1667), ni celle de A.