J’aime bien mieux sa prose que ses vers… » Ces citations peuvent suffire ; et n’ayant point d’ailleurs souvenance que personne au XVIIIe siècle ait protesté formellement contre l’opinion de Fénelon, de La Bruyère et de Bayle, nous pouvons en conclure que, d’une manière générale les contemporains et les successeurs de Molière, tout en rendant hommage à son génie, ont jugé qu’il « écrivait mal » ; — ou tout au moins qu’il n’écrivait pas bien.