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41. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

À chacun son œuvre et sa tache ! […] Voilà le seul fil par lequel seront reliées les comédies qui vont venir ; seulement il faut prévenir le lecteur que mademoiselle Mars n’est pas seulement dans les œuvres passées, elle se retrouvera dans les œuvres modernes, avec les poètes qui vont venir, Hélas ! […] La belle œuvre quand Célimène arrivera traînant encore après sa robe, la paille pourrie du fiacre qui l’a portée ! […] Seulement les œuvres du génie ne sauraient mourir. […] Il tient à toutes les choses et à toutes les œuvres de la vie.

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