Tourne, tourne les yeux, sans me faire répondre. […] Il t’en doit dire assez, Cet objet dont tes yeux nous paroissent blessés. […] Mes yeux semblent sortir d’une éternelle nuit : Dans ceux de mon amant un autre ciel me luit. […] Lucile voit le ciel dans les yeux de son amant ! […] Je leve au Ciel les yeux, je vous regarde, je soupire ; C’est vous en dire assez.