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145. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. Regnard imitateur de Moliere. » pp. 51-80

Les yeux à fleur de tête, & les dents assez belles, Jamais en ton chemin trouvas-tu des cruelles ? […] Vous avez un fonds de santé admirable, des levres fraîches, un teint vermeil & des yeux vifs. […] Il faut être de la derniere hardiesse pour oser exposer ainsi aux yeux du public, & sur le même théâtre, la copie la plus foible à côté de l’original le plus parfait.

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