Pour reconnoître un bienfaiteur, Les yeux ne sont point nécessaires : Je suis toujours averti par mon cœur. […] N’admettez plus des maximes contraires ; Et, comme moi, voyez d’un œil égal, Tous les hommes, qui sont vos freres.
Pour reconnoître un bienfaiteur, Les yeux ne sont point nécessaires : Je suis toujours averti par mon cœur. […] N’admettez plus des maximes contraires ; Et, comme moi, voyez d’un œil égal, Tous les hommes, qui sont vos freres.