Les lettrés n’ont certainement pas perdu le souvenir d’une élude sur Molière publiée dans le numéro du journal le Temps du 19 mars 1882, et dont celle qui m’occupe en ce moment nous rend par endroits comme un écho affaibli. […] Son titre est un peu long, mais il importe de le citer en entier : Devis que Jean Pastel et André Mazières, jurés du roy en ouvraiges de maçonneries, fournissent, en suivant l’ordre du roy, au sieur Poquelin Moliere, des ouvraiges de maçonnerie a faire pour les fondations de la grande salle des comédies et balletz a machines que sa majesté désire faire construire en toute diligence dans la place qui reste a bastir du pallais des Thuille-ries, depuis le corps de logis qu’occupe M. le comte d’Harcourt tenant vers la grande écurie.