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89. (1911) L’Étourdi de Molière et Le Parasite de Tristan L’Hermite (De Jodelle à Molière) pp. 292-302

Le succès étourdissant qu’obtenait Coquelin dans ce récit nous peut fournir une première explication : on aimait, au temps de Molière, les longs monologues où un acteur s’essoufflait et gesticulait, comme Gros-René dans le Dépit amoureux, et Molière, qui jouait Mascarille, a pu se ménager par ce récit un succès semblable à celui de Coquelin.

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