Ils descendirent, sans pâlir, ce diantre de Rhône, objet de la légitime épouvante de madame de Sévigné. […] Il devient pour Isabelle un objet de terreur, il devient pour nous autres, qui le voyons agir, un sujet de pitié.
Ils descendirent, sans pâlir, ce diantre de Rhône, objet de la légitime épouvante de madame de Sévigné. […] Il devient pour Isabelle un objet de terreur, il devient pour nous autres, qui le voyons agir, un sujet de pitié.