On pousse ma douleur et mes soupçons à bout, On me laisse tout croire, on fait gloire de tout, Et cependant mon cœur est encore assez lâche, Oui, cœur lâche, vrai cœur de poule, Pour ne pouvoir briser la chaîne qui rattache Et pour ne pas s’armer d’un généreux mépris Contre l’ingrat objet dont il est trop épris !