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94. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215

La chose est bonne, ou elle ne vaut rien ; allez à la pièce nouvelle, ou bien n’y allez pas. […] Nous autres de la génération nouvelle, qui avons été élevés dans une estime médiocre pour les doctrines de l’école voltairienne, nous nous regardions tout étonnés de ces violences dans le sarcasme. […] — Quelle vie nouvelle ajoutée à la poésie de Quinault, à la prose de Molière, et quelle est la voix puissante qui sait chanter, d’une façon si lamentable, les héros de ce siècle, apportés à Notre-Dame de Paris, sous un sarcophage d’or et de velours ? […] À cette nouvelle, notre officier se désole, il tire son épée, il la brise et il sort. […] Et quand vous les avez toutes parcourues, il vous reste encore votre corps à assurer ; et une nouvelle compagnie enterre vos os dans ce jardin charmant — le cimetière de Londres !

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