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121. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488

Ses parents le voient avec plaisir mettre en prison, & ne lui fournissent aucun secours ; ce qui fait qu’après avoir été renfermé, & après avoir chanté long-temps coucou, sa nouvelle passion commence à s’évanouir. […] O fatale nouvelle, & qui me désespere ! […] Ceux de mes Lecteurs qui ne l’ont pas bien présente à leur mémoire, peuvent avoir recours à l’original ; & après avoir loué l’adresse de Térence, ils loueront encore davantage celle de Moliere, qui non seulement a saisi toutes les beautés de son émule, mais qui leur donne une nouvelle force, en dégageant la scene d’une partie des personnages.

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