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160. (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179

Dès que Pierre Corneille vit la Du Parc, il fut émerveillé comme un soldat à l’odeur de la poudre, il pensa à rentrer dans la bataille, et Molière qui le saluait son maître, l’encouragea fortement à faire de nouveaux chefs-d’œuvre. […] Il ne resta pas longtemps fidèle à la mémoire de Geneviève ; deux ans ne s’étaient pas écoulés qu’il avait convolé à de nouvelles noces. […] On lit dans le registre de La Grange sous la date de 1659 : Le sieur du Croisy et sa femme entrèrent dans la troupe comme acteurs nouveaux. […] Molière surtout aimait trop à simplifier dans les enchevêtrements de sa vie pour donner un nouveau nom à chacune de ses servantes. […] La Grange, sous la date de 1659 : « Le sieur Du Croisy et sa femme entrèrent dans la troupe comme acteurs nouveaux à Paris. »La femme était une comédienne de campagne, nommée Marie Claveau, et non Clavereau, comme l’appelle Soleirol.

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