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94. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

Ainsi la poésie française ne changea pas complètement de ton : elle chanta des airs semblables et toucha les mêmes cordes, mais sans fausset et en attaquant la note avec justesse. […] Aimé Martin, dans les notes de sa belle édition de Molière, que le portrait d’Onuphre n’est dans ce qu’il a de bon qu’une copie de celui de Tartuffe , et que dans le reste il ne décèle que l’impuissance de l’auteur.

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