/ 214
169. (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98

La troupe royale, ceux qu’on nomme les Grands Comédiens, ce sont ces Messieurs de l’Hôtel de Bourgogne, les Floridor, les Montfleury, les Beauchâteau, la laide et sublime Desœillets. […] On se jette quelques noms à l’oreille : c’est M. le duc de la Feuillade, c’est M. le commandeur de Souvré, c’est M. le comte de Broussin… J’entends nommer Plapisson. un personnage assez dédaigneux, de ceux-là évidemment qui, à l’hôtel de Bourgogne, partent avant la fin du spectacle, pour ne pas ouïr la farce qu’on donne après la tragédie. […] Mais il faut que je m’arrête ici : l’amour de mon sujet ne m’a que trop entraîné déjà. — J’espère d’ailleurs, toucher prochainement un mot de cette histoire, dans une autre conférence sur le chef-d’œuvre que je viens de nommer.

/ 214