Que jamais par la force on n’entra dans un cœur, Et que toute âme est libre à nommer son vainqueur. […] — mais en femme de tête, elle prend ses précautions ; elle ne signe pas ; et elle ne nomme pas. […] — Qui donc vous a nommé Oronte ? […] Je ne répondrais donc à aucun de mes adversaires, si l’un d’eux ne m’avait pris à partie ici-même, — fort courtoisement d’ailleurs, je dois le reconnaître, car il est la courtoisie même, et à ce trait de son signalement tout le monde le nommera ici : c’est M. de La Pommeraye.