À la tête de cette pièce (qui n’a jamais été représentée) est un avertissement extrêmement satirique contre Molière, qui cependant n’y est pas nommé. […] On a joué cet hiver au Petit-Bourbon une pièce de lui, nommée Zénobie. […] Cependant, malgré l’envie des troupes, des auteurs et des personnes inquiètes, Le Cocu imaginaire passa avec applaudissement dans le public. » Un particulier nommé Neufvillenaine, qui, en cinq ou six représentations, avait retenu toute cette comédie, la fit imprimer, et la dédia à Molièrea ; les arguments qu’il a mis à la tête de chaque scène sont extrêmement curieux, parce qu’il y explique tous les jeux de théâtre, et surtout ceux de Sganarelle, qui était représenté par Molière.