Nous avons encore un très grand nombre de pieces dans lesquelles une femme se déguise en homme, un homme en femme, en jardiniere, en soubrette : ces déguisements sont dignes pour la plupart de figurer avec ceux d’Arlequin statue, enfant, perroquet, ramonneur, fauteuil, petit More, squelette, &c. […] Il y a dans un très grand nombre de pieces intriguées par des déguisements, un vice que nos prédécesseurs tiennent de nos voisins : il a été toléré dans la renaissance des Lettres en France, mais il feroit certainement siffler aujourd’hui un Auteur.