Qui voudrait lire seulement le titre de ces comédies en toiles peintes, jouées par des comédiens de bois, sur le théâtre déshonoré de Molière et de Marivaux, s’étonnerait du nombre de fadaises que peut contenir le règne des poupées ! […] Au nombre des soupirants les plus vifs et les plus empressés, se fait remarquer le duc d’Ascalio.