Qu’est-ce qui a un aussi grand nombre de ces vers pleins, de ces vers nés, qui n’ont pas pu être autrement qu’ils ne sont, qu’on retient dès qu’on les entend, et que le lecteur croit avoir faits?
Qu’est-ce qui a un aussi grand nombre de ces vers pleins, de ces vers nés, qui n’ont pas pu être autrement qu’ils ne sont, qu’on retient dès qu’on les entend, et que le lecteur croit avoir faits?