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267. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

Ce ne sont que rencontres impossibles, confusions de noms, générosités tombées du ciel ; pardons où l’on attendait des vengeances ; cachettes dans les murailles, derrière les tapisseries ; aparté pour unique moyen des effets de scène ; un mélange grossier de traditions grecques et latines, espagnoles et italiennes ; et, pour la part de la France, de gros sel gaulois, la seule chose qui ait quelque saveur dans cet amalgame. […] Molière en fût-il resté là, il eût assez fait pour être un des plus grands noms de notre scène.

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