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20. (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112

quel nom rebelle à la poésie ! […] C’est là un nom heureux ! un nom béat, tout confit en hypocrisie. […] Il n’y avait que les noms de changés. […] ton nom est la femme !

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