Ils lui reprochent d’abord d’ajouter à son nom celui d’une terre qu’il possède et de se faire appeler sottement M. de La Souche. […] Du moment qu’il adoptait pour la marche de sa pièce les récits successifs d’Horace et d’Arnolphe, il fallait bien qu’Arnolphe eût un double nom ; autrement Horace se serait aperçu que l’Arnolphe qu’il connaît est en même temps celui d’Agnès et il ne l’eût pas pris pour confident. […] Il est bien facile, mesdames et messieurs, lorsqu’un homme est entré pour toujours dans la postérité, lorsque deux siècles d’admiration ont passé sur son nom et sur ses ouvrages, il est bien facile, si belles que soient ses œuvres, de leur trouver de nouvelles beautés.