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140. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92

Que de grands joueurs de violon, que d’illustres pianistes, que de chanteurs qui sont devenus… une ombre, un nom, un écho ! […] Qui t’a dit leurs noms ? […] À cette kyrielle de noms, Ali a peur ; Ali n’est pas comme mous Figaro, qui ne doute de rien, et il n’en est que plus plaisant. […] Célimène, dont il ne prononce pas le nom, une seule fois dans toute la pièce, comme si la chose était possible ! […] Toutes les fois qu’un écrivain donnera son nom à une manière, à un style, tenez-vous pour assuré que c’est un écrivain original.

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