Si d’un noble enjouement il tomboit quelquefois dans un bas comique, c’est qu’il avoit beaucoup plus d’ignorans que de gens d’esprit et de sçavoir à ménager, et que les grands profits qu’il tiroit des premiers le consoloient des censures des autres. […] Il avoit l’air noble et les maniérés polies et agréables. […] « Moliere n’étoit ni trop gras ni trop maigre ; il avoit la taille plus grande que petite, le port noble, la jambe belle ; il marchoit gravement, avoit l’air très sérieux, le nez gros, la bouche grande, les lèvres épaisses, le teint brun, les sourcils noirs et forts, et les divers mouvemens qu’il leur donnoit lui rendoient la physionomie extrêmement comique. […] Elle n’a pas été jouée ; Les Nobles de province, de cinq actes, en vers, 1678 ; Crispin musicien, de cinq actes, en vers, 1674231.