/ 165
62. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

La partie penseuse de la bonne bourgeoisie s’entassait au théâtre pour écouter la satire des « dévots » et des « nobles » qui osaient suivre les prédicateurs. […] Il aspirait au genre noble, où il était mince : c’est le rêve et presque toujours la punition des railleurs. […] Ils gardent longtemps, quelquefois toujours, la prétention d’ouvrir dans le cœur humain la noble source des larmes. […] Je suis Français et chrétien. » Son attitude en présence de Louis XIV ne démentit point ce noble langage. […] Deux événements seulement sont à noter dans le cours uniforme de cette vie si pleinement dévouée au plus noble et au plus nécessaire des services publics.

/ 165