/ 214
17. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre premier. » pp. 5-11

Il était naturel que l’effronterie des mœurs générales ne distinguât rien dans ce mélange et qu’elle s’élevât également contre les caricatures et contre les modèles, contre la décence et contre la préciosité, contre l’honnêteté et la pruderie, contre la délicatesse et l’affectation ; la licence confondit tout et rendit tout ridicule. […] Peut-être Molière, entraîné par cette sympathie si vive en lui, ne s’appliqua-t-il pas assez à discerner, dans les mœurs dont le public était disposé à rire, le vrai du faux, l’exagération d’avec le naturel noble et choisi, et les affectations hypocrites d’avec un juste éloignement pour l’impudence du vice. […] La 7e de 1661 à 1670, qui comprend depuis la nomination de madame de Montausier à la place de gouvernante de M. le dauphin et le commencement du règne des maîtresses du roi, jusqu’à la nomination de madame Scarron à la place de gouvernante des enfants naturels du roi.

/ 214