Bazile, Roi de Pologne, apprend à Ulric son confident, que cette tour renferme Sigismond son fils unique, qu’il y fait garder depuis son enfance, pour prévenir les malheurs que le destin a prédits, si jamais ce jeune Prince, d’un naturel farouche, regnoit sur ses peuples. […] Non, certainement : mais alors ces mêmes pieces, trop dénuées des incidents, des passions, ou de la vraisemblance qui caractérisent la bonne tragédie, trop peu naturelles, trop boursoufflées pour entrer dans la classe des comédies, n’en seront pas moins des monstres, & paroîtront beaucoup plus ennuyeuses.