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15. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

Ils ne peuvent, ni l’un ni l’autre, assez répéter le grand mot: la nature, toujours la nature. […] Le comique existe dans la nature, ou, pour parler plus exactement, on rencontre dans la nature des objets capables d’éveiller l’impression comique. […] À défaut d’autre maître, la nature parlera. […] La nature de son rôle. […] Il ignore que les dons de la nature sont des dons qui obligent.

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