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122. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215

« Il y a dans l’art un point de perfection comme de beauté et de maturité dans la nature. […] Le spectre du Nord habite une nature mieux faite pour les fantômes ; il doit se plaire dans la brume épaisse et mélancolique des montagnes. […] Natures mauvaises et perfides que lord Byron lui-même n’a pas pu relever de la haine et du mépris qu’elles inspirent. […] « pour sa science et pour son génie, qui peuvent enseigner aux artistes, quelle que soit leur profession, que : l’art et la poésie de la nature expriment le vrai au travers du prisme de l’idéal ». […] Pour la parer, la nature s’épuise, tous les arts suent, toute l’industrie se consume. » À quoi bon ?

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