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216. (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834

Molière, lui, « était avec les dernières dispositions à la tendresse, » comme il le dit dans la fameuse conversation d’Auteuil. […] N’eût-on pas naturellement cette souplesse, Molière y suppléait : « Il a le secret, disait Gabriel Guéret, d’ajuster si bien ses pièces à la portée de ses acteurs qu’ils semblent être nés pour tous les personnages qu’ils représentent.

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