Outre qu’il est toujours téméraire de sonder les consciences, nous estimons que le théâtre fut pour lui un but, et non un moyen, qu’en choisissant l’hypocrisie comme sujet de satire, il fut seulement désireux de léguer à la postérité un nouveau chef-d’œuvre, en un mot que son génie se décida par des raisons dramatiques et désintéressées de tout autre souci. […] De là vient que la lutte est inégale entre lui et Trissotin, qui va droit au but par tous les moyens, sans être embarrassé par aucun scrupule.