J’avoue que je comptais citer ici en toutes lettres un nom parmi ceux de nos écrivains préférés, le nom de celui qui me paraît représenter plus brillamment encore que les autres, par l’élévation de son talent, la fermeté... l’entêtement de son parti pris et l’éclat incomparable de ses victoires dramatiques, ce genre, cette forme, ce moyen particulier d’émouvoir qui nous passionne depuis si longtemps déjà et que Molière, du haut des cieux, doit contempler avec une curiosité toute paternelle, quoique peut-être un peu étonnée. […] Ceux qui, de bonne foi ou pour soutenir une thèse, prétendent que le théâtre est un moyen positif d’éducation, doivent juger que ce n’est pas assez.