Moratin mourut à Paris, et fut enterré non loin de celui dont il s’était fait le disciple. […] On en sortait oppressé et triste à mourir. […] Je ne le ferais pas si je pouvais mourir ! […] C’est ma grande querelle avec Coquelin cadet ; nous nous enfonçons de plus en plus, chacun de notre côté, dans notre opinion, et il est probable à cette heure que nous mourrons tous les deux dans l’impénitence finale. […] Je mourrai dans l’impénitence comique finale, et vous dans le respect excessif d’une tradition qui n’est peut-être pas la bonne.