Cloris, qu’on vante si fort, M’aime d’une ardeur fidelle : Si ses yeux vouloient ma mort, Je mourrois content pour elle. […] Bien qu’avec pleine tendresse Mirtil me puisse chérir, Avec toi, je le confesse, Je voudrois vivre & mourir. […] plus que jamais aimons-nous ; Et vivons & mourons en des liens si doux !