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159. (1838) Du monument de Molière (Revue de Paris) pp. 120-

C’est à lui, à ce propriétaire, qu’on devra élever une colonne, au bas de laquelle on gravera ses noms et prénoms, son âge et sa profession, avec ces mots : — Il a vendu la maison de Molière. […] Laissons maintenant cette question plastique qui a bien aussi son côté moral, pour dire deux mots encore sur le peu d’opportunité qu’il y a, selon nous, à bâtir un monument à la gloire de Molière.

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