Dans Tartuffe, il a mis en scène le plus odieux de tous peut-être, l’hypocrisie ; et, dans Le Festin de Pierre, il a, pour ainsi dire, personnifié tous les vices à la fois, en montrant un scélérat qu’aucun principe moral, aucun sentiment humain ne détourne de ses affreux penchants. […] Sans doute, aucune procréation, dans l’ordre moral, comme dans l’ordre physique, n’a droit de surprendre davantage.