C’est un mensonge moral, de prétendre que des fils puissent être pleins d’honneur et de raison, des filles pleines de délicatesse, de pudeur et de grâce, sans que pères ni mères leur aient rien donné de ces qualités, ni par éducation, ni par héritage. […] Même chez les adorateurs de Vénus et de Bacchus, l’instinct moral conservait le sentiment de ces choses sacrées.